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"Goûtez, fermez les yeux et laissez vous envahir", lance Thomas Beaunis, 30 ans, l'un des 150 producteurs oisiens présents à Beauvais au marché organisé par le conseil départemental. Le jeune homme rigolard a le sens de la punchline et se marre avec tout le monde. Il fait partie de ceux sélectionnés pour le concours du Producteur de l'année. Apiculteur amateur "depuis toujours", il a décidé de valoriser le miel issu de ses cent ruches en faisant son propre nougat. Auparavant, il était dans le bâtiment, mais à la suite d'un accident, il a dû changer de branche. Pas mielleux pour deux sous, il la joue philosophe : "C'est une passion, et causer avec les gens, c'est agréable. Et puis il faut se marrer, dans la vie !"
Notre nougat Caramel beurre salé est fabriqué en France, à partir d’ingrédients de qualité et sélectionnés avec le plus grand soin. Le miel de printemps utilisé dans notre recette provient de nos ruches, où vivent des milliers d’abeilles qui butinent nos belles forêts de l’Oise. C’est avec leur nectar si précieux que nous produisons nos nougats, primés par le Conseil Général du département
Petit voyage au pays des abeilles, chez un jeune apiculteur installé depuis trois ans qui vit passionnément son métier. Thomas Beaunis s'occupe de cent ruches. Thomas Beaunis est un jeune apiculteur passionné par son métier et passionnant lorsqu'il en parle.
Installé depuis trois ans à la tête d'une centaine de ruches au domaine baptisé Salut les Abeilles, il a façonné un savoir-faire artisanal à force de patience, d'observation et de curiosité piquante. Dans ce métier qui ressemble davantage à une vocation, il faut s'adapter aux saisons. "Il n'y a pas d'école, nous apprenons de nos erreurs. Nous ne pouvons pas ête trop exigeants car nous sommes tributaires de la météos", explique Thomas Beaunis...
« Je me suis lancé dans la destruction du frelon asiatique car c’est un véritable fléau pour les apiculteurs. Au tout début de mon activité, pour le combattre, j’avais installé des muselières avec du grillage devant mes ruches, de façon à les protéger.
Perchés parfois à des hauteurs impressionnantes, les nids peuvent se cacher jusqu’à plus de 25 mètres de haut dans les arbres. Thomas Beaunis s’équipe alors d’une perche télescopique pouvant aller jusqu’à 30 mètres, pour éviter de monter dans l’arbre ou sur les toitures...